Profitant d'une villégiature en terre normande et foulant une fois de plus le théâtre des opérations du débarquement et de la bataille qui s'en suivit, j'initie ainsi une série d'articles afin de mettre à jour quelques enseignements tactiques et stratégiques des combats de l'été 1944 en Normandie, du 6 juin au 30 juillet, date de la destruction effective de la VIIème armée allemande. Pour cela, et avant de développer mon propos sur certains épisodes de cette bataille de la seconde guerre mondiale, je vous propose, dans la rubrique "A lire", un ouvrage passionnant d'Eddy Florentin, "Stalingrad en Normandie", qui détaille et explicite avec objectivité la violence de la confrontation entre les deux protagonistes, dans le bocage du Cotentin mais aussi dans les plaines vallonées du pays d'Auge (selon que l'on se place du côté britannique ou américain) ainsi que les terribles affrontements dans et autour de ce que l'on nommera la Poche de Falaise (remarquable cas d'école défensif joué par les Allemands d'ailleurs).
Dans un autre registre, je place dans la rubrique "Mémoire et évènements" de votre blog un raccourci vers le site du musée dédié à la batterie de Merville dans l'embouchure de l'Orne. En effet, cette place forte allemande, équipée à l'époque de 4 obusiers de 100mm, sera enlevée le 6 juin à l'aube par les parachutistes britanniques du lieutenant-colonel Otway. A cette occasion, ce dernier, ainsi que ses hommes, feront preuve d'une réelle faculté d'adaptation pour faire face à des cas non conformes (et non prévus à l'entraînement) afin de vaincre un adversaire fortement retranché. Dès lors, une opportunité s'ouvre, dans lesjours à venir, pour réfléchir sur l'emploi des troupes aéroportées, hier et aujourd'hui et ce, à partir des nombreux exemples que nous offre l'opération Overlord. Bonne lecture.
Dans un autre registre, je place dans la rubrique "Mémoire et évènements" de votre blog un raccourci vers le site du musée dédié à la batterie de Merville dans l'embouchure de l'Orne. En effet, cette place forte allemande, équipée à l'époque de 4 obusiers de 100mm, sera enlevée le 6 juin à l'aube par les parachutistes britanniques du lieutenant-colonel Otway. A cette occasion, ce dernier, ainsi que ses hommes, feront preuve d'une réelle faculté d'adaptation pour faire face à des cas non conformes (et non prévus à l'entraînement) afin de vaincre un adversaire fortement retranché. Dès lors, une opportunité s'ouvre, dans lesjours à venir, pour réfléchir sur l'emploi des troupes aéroportées, hier et aujourd'hui et ce, à partir des nombreux exemples que nous offre l'opération Overlord. Bonne lecture.
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