Bienvenue sur l'écho du champ de bataille
« L’écho du champ de bataille » a pour ambition de vous proposer à la lecture et à la réflexion des contributions sur des sujets relatifs à la stratégie, à l’art opératif, à la tactique et plus largement sur l’engagement et l’emploi des armées. Ces brèves, illustrations ou encore problématiques vous seront livrées sous le prisme de l’histoire militaire mais aussi sous celui des théâtres d’opérations d’hier, d’aujourd’hui, voire de demain. Des enseignements de grands chefs militaires de toutes les époques aux analyses polémologiques prospectives en passant par la doctrine ou aux équipements des forces françaises et étrangères. Gageons que vous aurez plaisir à lire ces articles ou à contribuer au débat. Bonne lecture…
Une belle évocation pour ce 11 novembre 2011 qui dans notre calendrier s'inscrit de façon particulière donnant le trinôme suivant: 11/11/11... marquant ainsi l'hommage, tant mérité, aux soldats d'hier, mais hélas aussi à ceux des conflits actuels !... "LV"
RépondreSupprimerPour la petite histoire (et non la petite guerre), la campagne des Dardanelles c'est aussi un épisode mystérieux ou la tactique rejoint le surnaturel. "Le 21 août 1915, au cours de l’attaque de la presqu’île de Gallipoli, 22 soldats néo-zélandais d’une compagnie du génie voient le régiment de Norfolk se porter au secours du corps d’armée ANZAC (Australia and New Zealand Army Corps) en train d’attaquer la cote 60, au sud de la baie de Suyla. Alors qu’ils se trouvent dans le lit d’un cours d’eau asséché, les soldats du Norfolk entrent dans un étrange nuage. Au moment où tous les hommes ont disparu derrière le rideau de brume, le nuage s’élève doucement puis s’éloigne dans le ciel, contre le vent, et échappe bientôt aux regards des observateurs. Plus un seul soldat n’est alors visible dans la petite vallée, et la Turquie affirme n’avoir jamais capturé aucun soldat du régiment concerné."
RépondreSupprimerUn curieux exemple du brouillard de la guerre.